La pandémie de coronavirus et les confinements qu’elle a engendrés (en particulier en Chine avec sa politique zéro Covid), les pénuries d’approvisionnement, la guerre entre la Russie et l’Ukraine, le harcèlement militaire de la Chine contre Taïwan, les pénuries d’énergie « potentielles » (surtout en Allemagne), l’inflation, la politique monétaire (réduction des bilans des banques centrales), les fortes augmentations des taux d’intérêt à une vitesse sans précédent – tous ces événements compliquent la vie des investisseuses et investisseurs.
Nous sommes chaque jour confrontés à de nouveaux défis. Il règne une grande incertitude, et il me semble que beaucoup d’acteurs des marchés financiers restent sur la touche et observent le déroulement du « jeu ». La crainte d’une prochaine récession, susceptible d’entraîner une perte d’emplois et/ou des diminutions de revenu, est également souvent évoquée. La baisse du pouvoir d’achat due aux taux d’intérêt réels négatifs nous affecte toutes et tous, et des alternatives à la détention d’espèces sont recherchées.
Dans mon entourage, on me demande souvent comment protéger son patrimoine. Mais on me pose aussi des questions telles que : faut-il se séparer de ses actions maintenant ? Ou est-ce le bon moment pour en acheter ? Le dollar va-t-il continuer à baisser ? La livre sterling n’offre-t-elle pas de bonnes opportunités d’achat ? Comment évoluera l’euro ? Les taux d’intérêt vont-ils encore augmenter ? Les cryptoactifs permettent-ils, aux niveaux actuels, de s’enrichir rapidement ?
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